Les autorités du plus important marché de Samsung Electronics sur le continent africain, le Nigeria, s’inquiètent des conséquences que l’utilisation du Galaxy Note 7 pourrait avoir sur leurs citoyens. Et cela, suite aux explosions de batteries survenues notamment aux États-Unis et en Chine.
Au Nigeria, les autorités exigent de la part de Samsung Electronics, à travers sa filiale ouest-africaine implantée dans le pays, Samsung Electronics West Africa limited, des informations sur le niveau d’application du rappel des appareils de la gamme Galaxy Note 7. En effet, après les incidents survenus sur le dernier née des smartphones du géant coréen, il a procédé au rappel de plusieurs d’entre eux à travers le monde. Pour le Conseil de protection des consommateurs (CPC) qui est à la base de cette requête au Nigeria, en plus des informations qui devraient être communiquées sur ce rappel, Samsung Electronics West Africa limited devra présenter les mesures prises pour garantir la sécurité et la protection des consommateurs nigérians.
En attendant que de plus amples informations soient communiquées, le Conseil de protection des consommateurs a demandé aux populations nigérianes qui sont détentrices du Galaxy Note 7, à travers un communiqué, de cesser de l’utiliser.
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Les incidents survenus sur le Galaxy Note 7, selon les informations communiquées par Samsung, proviendraient d’une erreur de fabrication au niveau de la batterie qui, à force de chauffer, fini par brûler voire exploser. Le 1er septembre 2016, selon les chiffres communiqués par le constructeur, seuls 35 smartphones avec ce type de dysfonctionnent avaient été répertoriés.