Dans une dynamique de modernisation, la Direction Générale des Impôts (DGI) du Niger envisage une refonte complète de ses services en digitalisant et en interconnectant l’ensemble de ses centres fiscaux. Le projet, actuellement en discussion avec Niger Télécoms, l’opérateur public de télécommunication, vise à améliorer la mobilisation des ressources internes et à faciliter l’accès aux services fiscaux pour les citoyens, en particulier dans les zones reculées. L’idée est d’assurer une connexion stable dans les centres fiscaux pour permettre une utilisation efficace des plateformes numériques déjà en place, comme le système de déclaration en ligne e-SISIC.
Objectif : optimiser l’efficacité fiscale grâce à une meilleure connectivité
Le partenariat entre la DGI et Niger Télécoms pourrait jouer un rôle stratégique pour renforcer la connectivité des centres fiscaux. Dans certaines régions comme Dosso et Tahoua, où les infrastructures sont souvent limitées, les problèmes de connexion freinent l’accès aux services numériques. Un comité paritaire, mis en place pour aborder ces défis, explore actuellement des solutions techniques spécifiques pour chaque zone. Ce projet est crucial pour la mise en œuvre du système e-SISIC et du système de facturation électronique certifié (SECeF), deux outils digitaux qui permettent aux contribuables de déclarer et de payer leurs impôts en ligne, contribuant ainsi à une gestion fiscale plus fluide et moderne.
Un projet qui s’inscrit dans une vision de modernisation à l’échelle nationale
Cette initiative de digitalisation ne se limite pas à la mise en place de nouvelles infrastructures mais fait partie d’une réforme fiscale globale, visant à améliorer l’efficacité du service public. En facilitant l’accès aux plateformes numériques, la DGI espère réduire les délais et simplifier les démarches administratives pour les contribuables. Le système SECeF, déjà fonctionnel, permet aux entreprises de générer des factures électroniques certifiées, renforçant ainsi la transparence et l’efficacité de la collecte des impôts. Ces réformes font écho aux ambitions de la DGI et du gouvernement nigérien de moderniser les processus administratifs et d’assurer une croissance fiscale durable.
Des prévisions de croissance favorables soutiennent les réformes
Dans un contexte économique en expansion, avec une croissance attendue de 5,7 % pour 2024 selon la Banque mondiale, cette réforme arrive à point nommé. Les prévisions économiques favorables offrent un terreau propice pour une augmentation des recettes fiscales, essentielle au financement des services publics et au développement du pays. En digitalisant et en optimisant ses centres fiscaux, le Niger anticipe une amélioration des performances de son administration fiscale et une augmentation des recettes internes, nécessaires pour soutenir les programmes sociaux et d’infrastructures.Dans une dynamique de modernisation, la Direction générale des impôts (DGI) du Niger envisage une refonte complète de ses services en digitalisant et en interconnectant l’ensemble de ses centres fiscaux. Le projet, actuellement en discussion avec Niger Télécoms, l’opérateur public de télécommunication, vise à améliorer la mobilisation des ressources internes et à faciliter l’accès aux services fiscaux pour les citoyens, en particulier dans les zones reculées. L’idée est d’assurer une connexion stable dans les centres fiscaux pour permettre une utilisation efficace des plateformes numériques déjà en place, comme le système de déclaration en ligne e-SISIC.
Objectif : optimiser l’efficacité fiscale grâce à une meilleure connectivité
Le partenariat entre la DGI et Niger Télécoms pourrait jouer un rôle stratégique pour renforcer la connectivité des centres fiscaux. Dans certaines régions comme Dosso et Tahoua, où les infrastructures sont souvent limitées, les problèmes de connexion freinent l’accès aux services numériques. Un comité paritaire, mis en place pour aborder ces défis, explore actuellement des solutions techniques spécifiques pour chaque zone. Ce projet est crucial pour la mise en œuvre du système e-SISIC et du système de facturation électronique certifié (SECeF), deux outils digitaux qui permettent aux contribuables de déclarer et de payer leurs impôts en ligne, contribuant ainsi à une gestion fiscale plus fluide et moderne.
Un projet qui s’inscrit dans une vision de modernisation à l’échelle nationale
Cette initiative de digitalisation ne se limite pas à la mise en place de nouvelles infrastructures mais fait partie d’une réforme fiscale globale, visant à améliorer l’efficacité du service public. En facilitant l’accès aux plateformes numériques, la DGI espère réduire les délais et simplifier les démarches administratives pour les contribuables. Le système SECeF, déjà fonctionnel, permet aux entreprises de générer des factures électroniques certifiées, renforçant ainsi la transparence et l’efficacité de la collecte des impôts. Ces réformes font écho aux ambitions de la DGI et du gouvernement nigérien de moderniser les processus administratifs et d’assurer une croissance fiscale durable.
Des prévisions de croissance favorables soutiennent les réformes
Dans un contexte économique en expansion, avec une croissance attendue de 5,7 % pour 2024 selon la Banque mondiale, cette réforme arrive à point nommé. Les prévisions économiques favorables offrent un terreau propice pour une augmentation des recettes fiscales, essentielle au financement des services publics et au développement du pays. En digitalisant et en optimisant ses centres fiscaux, le Niger anticipe une amélioration des performances de son administration fiscale et une augmentation des recettes internes, nécessaires pour soutenir les programmes sociaux et d’infrastructures.